Ce modèle de transmission d’entreprise qui incarne continuité et confiance peine à s’imposer en Suisse. En cause, notamment, les freins financiers majeurs auxquels il se heurte.
Alors que le nombre de nouveaux apprentis était si bas qu’on craignait de devoir fermer les classes de plâtriers du canton, elles sont maintenant pleines.
Fort de ses années d’une implication intense dans le dossier Suisse-UE, Philippe G. Nell, ambassadeur honoraire et vice-président de l’association La Suisse en Europe, livre ses attentes.
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