Robert Angelozzi, nouveau directeur général adjoint de la FER Genève.
Ian Bonzon
Daniella Gorbunova
Publié vendredi 14 novembre 2025
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#FER Genève
Avocat, entrepreneur et fin connaisseur du tissu économique genevois, Robert Angelozzi revient à la FER Genève. Il est directeur général adjoint depuis le 1er novembre 2025, aux côtés d’Arnaud Bürgin. Nous lui avons posé quatre questions pour (re)faire connaissance.
Avocat au barreau, Robert Angelozzi vient d’être nommé directeur général adjoint de la FER Genève. Il connaît déjà la maison, puisqu'il y a travaillé de 2012 à 2022, d’abord au service d’assistance juridique et conseil, puis comme secrétaire patronal. Après un intermède de quelques années, passées dans une étude qu’il a fondée (Benoît & Arnold Avocats à Genève), ce spécialiste en droit des entreprises revient à la rue de Saint-Jean avec une solide expérience entrepreneuriale en prime. Dans ses nouvelles fonctions, il pilotera les associations professionnelles et les services aux membres, étant ainsi en lien direct avec les quelque vingt-neuf mille entreprises affiliées à la Fédération. Une arrivée qui s’inscrit dans la stratégie 2030, portée par le directeur général Arnaud Bürgin.
Robert Angelozzi, tout comme Arnaud Bürgin, vous revenez «à la maison», en rejoignant à nouveau la FER Genève.
En effet, je suis arrivé à la FER Genève pour la première fois en 2012, au service d’assistance juridique et conseil (SAJEC). J’ai vu ce premier emploi hors du barreau comme une belle opportunité de me spécialiser en droit du travail, d’acquérir de l’expérience et de constituer un réseau. Puis j’ai travaillé au sein du département des associations professionnelles avec Arnaud Bürgin. J’étais en charge de plusieurs associations liées à la mobilité et à l’environnement. Quand Blaise Matthey (ancien directeur général de la FER Genève) est parti, je me suis dit que c’était le bon moment pour aller, moi aussi, explorer d’autres horizons. Je voulais me lancer à mon compte et connaître une expérience d’entrepreneur en mettant mes compétences au service des entreprises. J’ai ouvert mon étude avec des amis et exercé comme avocat pendant trois ans, une période très enrichissante, qui m’a permis de comprendre les réalités du terrain et les difficultés que peuvent connaître les petites entreprises. Je suis néanmoins toujours resté proche de la FER Genève, où j’ai tissé des liens forts, professionnels comme amicaux.
Qu’est-ce qui vous a poussé à revenir?
Cette décision est le fruit d’une mûre réflexion. Il faut l’avouer: la vie d’indépendant présente de nombreux avantages. Surtout au niveau familial, car ce statut permet beaucoup de flexibilité dans les horaires. Mais une fois approché par la FER Genève pour ce poste, je me suis dit que je ne pouvais pas laisser passer cette occasion. Le projet de stratégie développée par Arnaud Bürgin me convenait pleinement et était dans la continuité de ma philosophie des services que je peux apporter aux membres.
Quelles sont vos ambitions pour la FER Genève?
Il faut rappeler que cette maison appartient tout d’abord à nos entreprises membres! Nous sommes là pour elles, pour les soutenir au mieux. D’autant plus que je reviens à l’heure fascinante des transformations sociale, digitale, de nos manières de travailler. J’ai beaucoup de chance, de pouvoir ainsi me (re)mettre au service de nos entreprises en ce moment charnière, pour les accompagner au mieux dans ces changements.
Pour nos membres et collaborateurs qui ne vous connaissent pas encore: si vous deviez vous décrire en trois mots?
Je suis quelqu’un d'extrêmement positif. Je vois toujours le verre à moitié plein et suis axé solutions. Je suis aussi quelqu’un d’accessible et de disponible, tant pour nos membres que pour les collaborateurs de la FER Genève. Et puis je dirais dynamique, parce que j’aime que les choses avancent vite et bien!
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